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14 avril 2010 3 14 /04 /avril /2010 18:53
 
police-munic.jpgDevant l’inertie du gouvernement qui s’obstine à garder le silence face aux revendications portées depuis plusieurs mois par l’intersyndicale des policiers municipaux, les Organisations Syndicales réunies à Paris le 3 mars 2010, a décidé d’une mobilisation graduée jusqu’au 21 juin pour obliger le gouvernement à ouvrir de réelles négociations.
 

Communiqué de presse

L’intersyndicale CFDT, FO, FA-FPT, CGT, UNSA mobilise les policiers municipaux.

 
Paris le 4 mars 2010

Les organisations syndicales  CFDT, FO, CGT,FA-FPT et UNSA se sont retrouvées le 3 mars afin d’envisager ensemble les actions à tenir pour parvenir à l’aboutissement des revendications des policiers municipaux.

Alors que le parlement légifère une nouvelle fois sur le transfert de missions de sécurité assumées par l’État vers la police municipale, le Gouvernement qui s’était engagé le 20 janvier dernier à rendre des réponses sur les demandes des organisations syndicales, n’a à ce jour, formulé aucune proposition.

L’Intersyndicale constatant le mépris dans lequel le gouvernement tient notre profession, a décidé de passer à l’action de façon massive et programmée et d’imposer par un rapport de force que de réelles négociations s’ouvrent.

L’intersyndicale revendique :

La revalorisation des carrières des agents de la catégorie C

  • Passage des Gardiens de l’échelle 4 à l’échelle 5
  • Passage des Brigadiers de l’échelle 5 à l’échelle 6 (IB 499)
  • Passage des Brigadiers Chefs Principaux de l’échelle 6 sur une échelle spécifique terminant à l’IB 529
La prise en compte de la pénibilité et de la dangerosité pour les salariés de cette filière
L’attribution obligatoire de l’ISF au taux maximum pour tous et sa prise en compte dans le calcul de la retraite

L’Intersyndicale proposera aux Policiers Municipaux un certain nombre d’actions à réaliser :

A compter du 1er Avril 2010 et pour informer l’ensemble de la population de notre mécontentement, la mise en place de visuels sur les véhicules de service sérigraphiés pour informer la population de notre mécontentement

A la même date, refus d’accomplir toutes missions ne relevant pas de la police administrative (secours à personnes, …) accomplie normalement par la police nationale ou la gendarmerie et pour lesquelles la police municipale est régulièrement sollicitée en raison de la faiblesse grandissante des effectifs des services de l’État

A compter du 1er mai 2010, grève totale du relevé des contraventions

Le 21 juin 2010, grève et manifestation sur l’ensemble du territoire national

Nous disons au gouvernement assez de charger la barque des compétences sans aucune contrepartie sociale, l’intersyndicale appellera les personnels à entrer dans l’action  pour peser sur leur avenir

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11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 15:53

prime-ou-deprime.jpgL’Assemblée approuve l’intéressement collectif dans la fonction publique

Les députés de la majorité ont approuvé, le 8 avril, plusieurs mesures gouvernementales visant à instaurer dans la fonction publique l'intéressement collectif en fonction de la performance d'un service.

Au grand dam de l’opposition, le gouvernement a introduit, par le biais d’amendements de dernière minute au projet de loi sur la rénovation du dialogue social, plusieurs mesures instaurant l’intéressement collectif dans les trois fonctions publiques (Etat, territoriale et hospitalière).

L’intéressement collectif a fait l’objet d’une discussion de dix mois avec les syndicats et a abouti, début mars, à un accord-cadre rejeté par les organisations syndicales. La gauche a dénoncé « un passage en force » qui va « à l’encontre de la conception même de dialogue social ».


Le gouvernement veut donc mettre en place une prime qui chaque année récompensera la performance collective des agents des services les plus performants, sur des critères comme la qualité de service, la maîtrise des coûts, l’amélioration des conditions de travail ou encore le développement durable.

On évoque une « base de réflexion » s’élevant à 300 euros pour cette prime d'intéressement, « le versement de la prime à une partie restreinte de la population (le quart des agents par exemple) apparaît comme le meilleur système, car il crée une émulation entre les services et rend possible une rotation des bénéficiaires ».

 

Pour certaines organisations syndicales , certaines missions de la fonction publique ne seraient en effet pas quantifiables et difficilement mesurables en terme de résultats. D'autres vont plus loin en estimant qu'un telle prime est contraire aux fondements mêmes d'une mission de service public.

 

Le principe de l’intéressement collectif ne fait pas l’objet d’un rejet unanime de la part des organisations syndicales, notamment du fait de sa pratique courante dans les entreprises publiques (65 % des agents des entreprises et établissements publics bénéficient de l’intéressement collectif), le Gouvernement s’engage donc à prendre rapidement les mesures nécessaires pour mettre en place l’intéressement collectif dans la Fonction publique.

 

Toutefois, pour les syndicats, "le passage en force de l'intéressement va à l'encontre de la conception même de dialogue social", explique Anne Balthazar (FO). "La méthode est scandaleuse et méprise les signataires de l'accord sur le dialogue social", selon elle.

Pour Brigitte Jumel (CFDT), "l'accord sur l'intéressement n'a été validé par aucun syndicat", mais va se retrouver dans "une loi instaurant le principe de non-validité d'un accord qui n'obtiendra pas l'adhésion d'organisations syndicales représentant au moins 50% des agents", observe-t-elle.

"Le gouvernement veut ouvrir les portes à l'intéressement collectif dans la Fonction publique, alors qu'aucun syndicat n'a signé. Cela montre comment le gouvernement voit le dialogue social", ironise Jean-Marc Canon (CGT).

 

Sources : Fonction publique - la Gazette

 

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 13:17

Nouvelles grilles de la catégorie B


grille.jpgUn décret fixant l'échelonnement indiciaire applicable aux membres des cadres d'emplois régis par le décret n° 2010-329 du 22 mars 2010 portant dispositions statutaires communes à plusieurs cadres d'emplois de fonctionnaires de la catégorie B de la fonction publique territoriale

Indice brut

Au 1er janvier 2012, les 10e et 11e échelons du troisième grade sont respectivement portés aux indices bruts 646 et 675.



Premier grade

 

 Deuxième grade

 

 Troisième grade

 

 13e échelon

 576

 13e échelon

614

 11e échelon

660

 12e échelon

 548

 12e échelon

581

 10e échelon

640

 11e échelon

 516

 11e échelon

551

 9e échelon

619

 10e échelon

 486

 10e échelon

518

 8e échelon

585

 9e échelon

 457

 9e échelon

493

 7e échelon

555

 8e échelon

 436

 8e échelon

463

 6e échelon

524

 7e échelon

 418

 7e échelon

444

 5e échelon

497

 6e échelon

 393

 6e échelon

422

 4e échelon

469

 5e échelon

 374

 5e échelon

397

 3e échelon

450

 4e échelon

 359

 4e échelon

378

 2e échelon

430

 3e échelon

 347

 3e échelon

367

 1er échelon

404

 2e échelon

 333

 2e échelon

357

 

 

 1er échelon

 325

 1er échelon

350

 

 


Projet de grille :
http://asnierescfdt.free.fr/PROJETNOUVELLEGRILLEB.pdf
 
Décrets :
Décret n° 2010-329 du 22 mars 2010

Décret n° 2010-330 du 22 mars 2010, JO du 26 mars 2010


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29 mars 2010 1 29 /03 /mars /2010 17:02

les-echos.jpg
Fonctionnaires : Woerth promet une loi pour encadrer le recours aux contractuels

 

Eric Woerth et Georges Tron ont défini vendredi l'agenda social 2010 de la fonction publique. Ils excluent un plan massif de titularisations, mais promettent un projet de loi pour « mettre fin aux situations précaires abusives ».

Nicolas Sarkozy avait ouvert la porte fin janvier à un nouveau plan de titularisations dans l'administration, Eric Woerth l'a refermée, en douceur, vendredi. Lors de la réunion d'agenda social 2010 avec les syndicats, le ministre de la Fonction publique et son secrétaire d'Etat, Georges Tron, ont été clairs : des gestes ciblés seront bien étudiés, mais il n'est pas question de procéder à des titularisations massives.
Cette approche, estiment-ils, ne résoudrait pas le fond du problème, à savoir les recours abusifs aux agents non titulaires (850.000 à l'heure actuelle), qui ont entraîné la hausse continue de leur nombre « malgré 16 plans de titularisations depuis 1950 », comme l'a souligné Eric Woerth.

C'est pourquoi le ministre juge plus productif de prendre le mal à la racine en « fermant le robinet » et en « luttant contre les abus » des administrations et établissements publics. Il a promis l'ouverture rapide de négociations avec les syndicats, suivies d'un projet de loi, avant la fin de l'année, pour « mettre fin aux situations précaires abusives » (en privilégiant alors les passages de CDD à CDI plutôt que les titularisations), « essayer de fixer les règles du jeu » (elles sont aujourd'hui très floues et disparates, ce qui engendre des pratiques très variables d'une administration à l'autre) et « savoir à quel moment on est titularisé ». « La première étape est de favoriser les passages en CDI, puis, ensuite, on réorganisera les conditions et les voies de titularisation pour ceux qui le souhaitent », explique l'entourage de Georges Tron.

Des droits à améliorer

 « Eric Woerth ne prend pas en compte les promesses faites par Nicolas Sarkozy ». Les syndicats ne se faisaient pas d'illusion, ils se réjouissent surtout que la lutte contre la précarité, un thème qu'ils ont longtemps porté sans succès, soit enfin à l'ordre du jour. « Il est temps de clarifier et d'instituer des règles pérennes », explique FO. « Personne ne dit qu'il ne faut plus aucun contractuel, mais les abus se sont multipliés et ces agents sont dans une précarité souvent plus grande que dans le privé », souligne la CFDT, qui dénonce notamment les abus dans l'Education nationale, la culture, le médico-social, les personnels d'entretien. Les syndicats attendent que la négociation débouche aussi sur de meilleurs droits pour les non-titulaires (avantages sociaux, formation, ancienneté). « Ces questions seront à l'ordre du jour », assure-t-on Rue de Grenelle.

D. P., Les Echos

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24 mars 2010 3 24 /03 /mars /2010 11:05

La Tribune publie, sous ce titre, "Il faut entendre le sentiment d'injustice dans notre société" un long entretien avec François Chérèque, dans son édition datée du 23 mars.


Sur le plan social, quel enseignement l'exécutif doit-il tirer du scrutin régional ?
François Chérèque - Je retiens tout d'abord le cri assourdissant de l'abstention. Les gens ont le sentiment qu'on ne s'occupe pas d'eux. Par ailleurs, s'exprime clairement un désaveu des politiques menées par le gouvernement. Ce message s'adresse à lui.

 

Faut-il un virage social dans la politique gouvernementale ?

Il faut partir de la situation sociale. Le chômage augmente et va continuer à progresser. Les destructions d'emploi n'ont jamais été aussi fortes qu'en 2009 et la masse salariale a reculé de 1,3%. Si, compte tenu de ce constat, le gouvernement estime qu'il en a fait suffisamment, on court à la catastrophe. Il y a des alertes sociales qui ne peuvent pas laisser indifférents le gouvernement et le patronat.

 

Partagez-vous l'optimisme du gouvernement sur l'évolution du chômage ?

Je ne me nourris pas au pessimisme. Mais les déplacements que je fais sur le terrain montrent que la situation ne s'améliore pas avec des plans sociaux qui se multiplient et de la souffrance au travail. Ce sentiment est partagé dans le secteur public comme dans le privé. C'est explosif !

 

Le patronat vient de créer un comité « emploi » pour réfléchir à de nouvelles formes d'emploi. Qu'en pensez-vous ?

Je crains qu'avec ce comité, on rajoute encore de la flexibilité. Or, la crise a déjà provoqué une très forte hausse de la flexibilité dans les entreprises. Et la reprise se fera par l'intérim, les heures supplémentaires et la précarité. On ne peut pas faire pire.

 

Sur le partage des profits, pouvez-vous tenir le calendrier du chef de l'Etat qui vous a donné trois mois pour négocier ?

Le président de la République a raison de faire pression sur le patronat pour qu'il bouge. Les profits redémarrent alors que la détresse sociale s'accentue. Nous voulons renforcer le poids des salariés sur les décisions stratégiques de l'entreprise.

 

Sur les retraites, vous vous êtes prononcé en faveur d'une réforme «systémique », c'est-à-dire une remise à plat de l'ensemble du système. Une trop grande ambition ne risque-t-elle pas d'aboutir à l'inaction ?

La réforme des retraites n'est pas un débat technique, c'est un débat de société. Faire une réforme jouant uniquement sur les paramètres (durée de cotisation, âge de départ en retraite...), ce serait accepter les inégalités du système, même les accentuer. On ne peut régler les inégalités que par une réforme en profondeur.

 

D'autres organisations syndicales, dont Force ouvrière, estiment qu'il ne revient pas au système de retraites de régler le problème des inégalités au sein du salariat ?

Mais comment faire admettre une réforme difficile, si elle pérennise les inégalités ? Les moins de trente ans sont persuadés qu'ils vont payer pour la réforme, mais qu'ils n'auront droit à rien. Ne pas corriger les inégalités, c'est les pousser à faire le choix des fonds de pension

 

Faut-il calculer la retraite des fonctionnaires non pas sur la base des six derniers mois de salaires, mais sur celle des 25 meilleures années, comme dans le privé, comme l'a suggéré François Fillon ?

Cette idée relève de la communication, de la démagogie. Elle est, du reste, abandonnée car sa mise en œuvre serait extrêmement coûteuse. Il faudrait intégrer les primes des fonctionnaires dans le calcul des retraites, ce qui coûterait extrêmement cher.

 

Le gouvernement pointe une amélioration en matière d'emploi des seniors. Etes-vous d'accord ?

Le taux est tellement mauvais qu'il ne peut que s'améliorer. Mais l'évolution est très minime - à peine 1%. Il n'y a pas de changement de fond. Le comportement des entreprises ne varie pas.

 

Comment prendre en compte la pénibilité ? Faut-il adopter une approche médicale, comme le suggère la présidente de la Cnav, Danièle Karniewicz?

On peut être apparemment en bonne santé, à 55 ans, après des années à la chaîne. Mais l'usure profonde n'est pas toujours visible avant 60 ans.

 

Lors de votre congrès, outre les retraites, allez-vous vous poser la question de votre efficacité sur le terrain ?

Notre fonctionnement doit s'adapter à la nouvelle donne dans les entreprises et le monde du travail, et renforcer notre proximité avec les salariés. Ce sera au cœur de nos débats. Nous allons demander aux équipes syndicales de s'engager pour faire des changements d'organisation. Et nous ferons un bilan à mi-parcours, deux ans après le congrès.

 

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22 mars 2010 1 22 /03 /mars /2010 08:58



Asnières-sur-Seine (2ème tour)
  • Inscrits : 42299
  • Votants : 20892
  • Abstention : 50.00%
  • Blancs et Nuls : 938
Tableau des pourcentages sur le lien suivant :

http://asnierescfdt.free.fr/electionregionale2010.pdf


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20 mars 2010 6 20 /03 /mars /2010 23:45


Moins d’un Français sur deux s’est rendu aux urnes lors du premier tour des élections régionales.

Cette très forte abstention est d’autant plus inquiétante qu’elle est particulièrement marquée dans les villes et les quartiers qui connaissent des graves difficultés sociales.

Cette faible participation associée aux nombreuses voix en direction du front national, dont la grande majorité vient des classes populaires, révèle bien une perte de confiance de l’action politique.

En dépit d’une très forte mobilisation aux élections présidentielles de 2007, réapparaissent les plaies non refermées d’une démocratie fragilisée, brutalement révélées en 2002.

Pour la CFDT, cette défiance, cette lassitude, ce mécontentement interrogent, au-delà des partis politiques, l’ensemble des corps intermédiaires et leur impose une responsabilité.

Dans ce scrutin, ce sont les enjeux locaux qui doivent primer. Les régions sont en première ligne dans cette période de crise et ont des prérogatives non dépourvues d’effets concrets sur le quotidien des salariés. Développement économique, transport, formation…sont autant de leviers essentiels pour lutter contre la montée du chômage et des précarités.

Mais les Français n’ont pas eu l’impression qu’on leur a parlé, qu’on s’intéressait à eux pendant cette campagne. Durement frappés par la crise économique, ils n’ont pas le sentiment que leur quotidien est l’enjeu de ces élections et nombreux sont ceux qui indiquent que les sujets qui les préoccupent ne sont pas abordés, qu’on ne les écoute pas, que danc ce cas ça ne sert à rien d’aller voter…

Il est clair que la sanction du gouvernement est à attribuer en grande partie à un discours qui nie la persistance de la crise et donc les grandes difficultés dans lesquelles se trouvent de nombreux Français. La dimension locale est ocultée et d’autres priorités semblent conduire le débat public.

Battre le rappel pour plus de participation citoyenne au deuxième tour est le devoir de l’ensemble des acteurs de notre démocratie, mais encore faut-il que les défaites des uns et les victoires des autres ne consistent pas à « se renvoyer la balle ». Il ne s’agit pas, pour la CFDT, de se poser en donneuse de leçon, mais bien, comme c’est l’enjeu pour l’ensemble des corps intermédiaires, de faire face à cette « lame de fond » qui fragilise les fondements de notre démocratie.

Laurence Laigo, Secrétaire nationale CFDT (et un pt'i coucou à Interco CFDT de Colombes).


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16 mars 2010 2 16 /03 /mars /2010 23:20

Extrait du journal


France pouvoir d achat"REGIME INDEMNITAIRE" Une IAT à 4 minimum 



Ceux qui pensaient que la municipalité allait engager une grande concertation avec les syndicats sur le régime indemnitaire en sont pour leurs frais.

C’est pourquoi, le bureau de la CFDT a décidé de ne plus attendre et organisera, avec les agents, une concertation pour définir les grandes orientations de la réforme du régime indemnitaire.  

La CFDT portera vos revendications.

Une IAT de base fixe coefficient 4 /  Le maintien du RI  en cas de maladie / Un RI majoré pour tenir compte des contraintes horaires - de la pénibilité - de la technicité / L’IEMP pour tous  les agents ayant une responsabilité / La révision du système de  notation / etc.

 


Venez nous proposer vos souhaits en matière de RI afin que nous puissions engager une grande mobilisation pour un régime indemnitaire équitable entre les filières et les agents .…
sur : asnierescfdt@yahoo.fr 

 

Pour une lecture complète, cliquez sur le lien suivant :
http://asnierescfdt.free.fr/journalcfdtmars2010.pdf

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15 mars 2010 1 15 /03 /mars /2010 09:16


Candidats

Liste

Voix

%

 

PECRESSE Valérie

 

UMP Liste de la majorité présidentielle

6052

32.63%

 

HUCHON Jean-Paul

 

 

Liste du Parti Socialiste et divers gauches

 

4564

24.61%

 

DUFLOT Cécile

 

Europe écologie Liste des Verts

3016

16.26%

 

ARNAUTU Marie-Christine

 

Liste front national

1551

8.36%

 

DOLIUM Alain

 

MoDem Liste démocrate et centriste

820

4.42%

 

DUPONT-AIGNAN Nicolas

 

Rassemblement gaulliste Liste divers droite

741

4.00%

 

LAURENT Pierre

 

Liste du Parti Communiste. et du Parti Gauche

644

3.47%

 

BESANCENOT Olivier

 

NPA Liste d'extrême gauche

566

3.05%

 

GOVERNATORI Jean Marc

 

Alliance écologiste indépendante

256

1.38%

 

DE BOER Axel

 

La liste chrétienne

167

0.90%

 

MERCIER Jean-Pierre

 

Lutte ouvrière Liste d'extrême gauche

99

0.53%

 

KANOUTE Almamy

 

Emergence Autre liste

69

0.37%

 

 

 

 


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12 mars 2010 5 12 /03 /mars /2010 11:45


Jeudi 11 mars 2010

Manifestation contre le décret Morano
d
es agents de la petite enfance


Lettre de soutien de la municipalité d’Asnières-sur-Seine.

 

 

*      Mobilisation sans précédent de la petite enfance.

*      Journée record des visites sur le blog de la CFDT-Interco d’Asnières avec 1303 pages ouvertes pour ce seul jeudi 11 mars 2010.

*      Soutien sans équivoque du Maire d’Asnières aux agents de la petite enfance.

 

Voila qui résume parfaitement cette incroyable journée d’action portée par la CFDT Interco 92.

 

Pour le soutien de la municipalité, le plus simple est de lire la lettre du Maire cosignée par Madame Chapuis, Maire Adjoint à la "Petite-Enfance".

LETTRE AU SYNDICAT PROJET DE DECRET PETIT ENFANCE

LETTRE AU SYNDICAT PROJET DE DECRET PETIT ENFANCE (01)


 
 

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